mardi 13 septembre 2005

Je n'ai pas vu le doute en toi s'immiscer



Chère Berthe, cher Raoul,

Ne vous souciez surtout pas de mon absence depuis quelques jours car, dans un terrible élan de courage, j’ai décidé de vous quitter. Marre de vos railleries, de vos insultes, de vos coups répétés ! Je vous laisse désormais patauger dans votre fange bande de cloportes ! Une nouvelle vie s’offre à moi, bien loin de vous. Je vous conchie.

Amicalement,

Adieu à jamais !

-Howard.

Ps: j’ai froid, j’ai faim et j’ai un peu peur aussi. Si un jour, je retrouve le chemin, je pourrais revenir ?

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