Chers vous,
Les jours passent, les saisons défilent et c’est tiraillé par la faim et par le besoin que je me suis enfin décidé à trouver un travail. Je suis désormais pêcheur en haute mer auprès d’un vieux pélican qui m’apprend toutes les ficelles du métier. Le salaire est plutôt maigrichon, les conditions de travail sont déplorables, et je ne vous parle même pas des RTT ! Toutefois, l’ambiance reste bon enfant malgré le froid, les intempéries et la fatigue.
En espérant vous revoir très bientôt (avant que la gangrène ait définitivement emporté mes orteils)
Amicalement,
-Howard.
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