Chère Berthe, Cher Raoul,
Après des jours de marche dans les bois, je suis enfin parvenu à me trouver un abri. Une ravissante auberge de jeunesse où je fus accueilli avec convivialité et gentillesse. Ici, tout le monde m’apprécie et m’aime, je me suis fait des dizaines d’amis en me rendant utile, j’ai enfin l’impression d’exister.
C’est malheureux à dire, mais c’est loin de vous que je m’épanouis. Je m’y plais tellement que je crois y rester un petit moment.
Amicalement tout de même,
-Howard.
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